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La règle du marchand: Ne pas avoir de dette

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Freyr
Prince du Thargelion
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Freyr


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MessageSujet: La règle du marchand: Ne pas avoir de dette La règle du marchand: Ne pas avoir de dette EmptyVen 10 Nov - 7:17

La règle du marchand: Ne pas avoir de dette
Se promenant au cœur d'un des plus importants fiefs naugrims, le garçon savait qu'il avait un immense honneur. Errant de galerie en galerie son émerveillement n'avait de limite que son imagination quant aux travaux nécessaires à tout cela. Chaque pilier semblait avoir sa propre histoire et il y en avait plusieurs sortes. Chacun avec ses propres décorations, des inscriptions incompréhensibles pour le garçon se trouvaient en bas et en haut de chaque plier. Le sol arborant les armoiries du roi de Belegost ne faisait que refléter un plafond sans défauts et dont les lustres ne pouvaient que vanter leur beauté.

Chaque salle avait droit à sa fonction, à sa décoration ainsi qu'à des nains qu'il serait impossible de trouver ailleurs en temps de paix. La cuisine emplit des bons produits provenant du royaume de son père, ce qui permettait à Freyr de ne pas être dépaysé de son chez lui. Légumes, charcuteries ou même alcool tout y était. L’armurerie salle à laquelle le capitaine n'avait aucun accès, gardait par d’innombrables nains s'occupant aussi de polir quelques unes des lames. Le peu d'aperçu qu'il fut possible d’apercevoir ne ressemblait qu'aux plus belles lames des meilleurs soldats de part chez lui. Si bien qu'à n'en point douter aux plus profonds des salles remplies d'armes se trouvait une armoire forte avec les meilleurs armures et armes dont la qualité devait ressembler aux rayons du Soleil frappant la Lune de mille feux.


Il y avait aussi une salle du conseil, bien qu'il pouvaient y accéder, aucun des hommes ne se risqua à pénétrer la salle. Non pas par peur ou pour éviter le roi, mais simplement pour ne pas le déranger. Les orientaux avaient comme le pressentiment que c'était comme de rentrer dans une suite personnels. En passant un rapide coup d’œil aux forges il pouvait voir au loin des nains et peut-être même des naines, travaillant le fer et l'acier afin d'en faire armes et outils. C'est alors qu'il eu l'idée de demander à s'en faire forger une. Mais n'ayant pas encore les moyens il préféra d'abord avoir une grande somme à dépenser. Plus tard il aurait alors Gram la pourfendeuse. En avançant dans les couloirs il arrivait face à une caravane marchande.


Cette dernière semblait être sur le départ, Freyr ne pouvait s'empêcher d'aller parler avec eux. A présent presque à l'aise en sindarin, il pouvait avoir une conversation descente sans hésitation pour la compréhension des deux individus. Il était vrai qu'après un certain apprentissage le sindarin paraissait bien plus simple que l'oriental. Mais pour autant il ne comptait pas oublier sa langue natale. Le nain un peu plus grand que ses camarades avait un crâne bien garnit, on pouvait y voir des cheveux grisâtre indiquant une certaine ancienneté. Sans chercher à passer par mille et un chemins il commençait d'abord par lui exprimer une salutation des plus sincères.


Après s'en suivit un dialogue fort intéressant allant aussi bien des projets du garçon à l'expérience de marchand du nain. Sans aucun doute l'un des précieux conseils qu'il garda par la suite, pourrait s’avérer utile dans l'étude du royaume. Aussi fallait-il trouver un moyen de le remercier, sans plus attendre la solution lui est apparue comme évidente. Il proposait alors au chef de caravane de les accompagner jusqu'à la limite des racines des montagnes, après quoi il regagnerait Belegost. L'homme étant de bonne compagnie il n'y eu qu'un cours moment d'hésitation avant d'accéder à la demande. C'est alors que vingt minutes plus tard le convoi se mit en route.


La seule différence qu'il pouvait être donné de voir entre le voyage d'allée de l'oriental et celui-ci, n'était que  la masse de neige s'accumulant à mesure que l'hiver semblait proche. Il n'y avait au loin plus qu'une végétation nue arborant des sapins se  tenant fier-ment doit avec les épines tenant alors la neige loin du sol. Les roues des chariots ne faisaient que gémir au plus profond du bois de chêne qui les composées, les marchandises à l'arrière du charretier se balançant les unes contre les autres. Ce brouhaha raisonnait dans toutes les cimes des treize monts aux alentours, aucun nains, hommes ou même éclaireur orque ne pouvaient manquer cela.


Il faut dire que le convoi ne comptait pas moins d'une vingtaine de voitures et le double en tête de bétails pour les amener à bonne destination. Au cours de ce voyage le capitaine oriental demandait alors à l'un des marchands la destination finale. Sans hésiter la réponse fut le nom d'une cité qu'il n'avait jamais vue auparavant. Il s'agissait d'une lointaine cité elfe dont les nains auraient construits la majeur partie de l'ouvrage. C'est alors que le marchand enchaînait sur les prouesses naines dans le domaine de la construction. La discussion durant si longtemps que finalement, le convoi se trouvait aux pieds des montagnes naines. A présent à la frontière avec son royaume, il se posa là un moment pour observer le paysage. Après quoi il remercia les nains et commençait à se mettre en route.

Mais l'un des nains le stoppa net, il s'agissait du chef de convoi qui visiblement voulait terminer avec le jeune homme en bon terme. Il donna alors un coffre dont le contenu ne cessait de provoquer des frottements métalliques. Sans aucun doute de l'or se trouvait à l'intérieur,  mais il ne comprenait pas pourquoi recevoir une telle somme. Le nain lui expliqua que c'était pour la protection des bêtes et marchandises, il enchaînait sur le fait que les caravanes n'étaient jamais à l'abri des bêtes sauvages, brigands ou orques de la région. Ces terres autrefois sûres ne l'étaient plus autant, des orques s'aventurant jusque ici étant rare, mais pour autant pas impossible.


Après une chaleureuse accolade avec les nains, il continua sa route pour rentrer à Belegost. Curieux de voir le contenu du coffre, il ne l'ouvrirait qu'une fois de retour à la cité naine. Le fond de ce coffre pourrait  servir à payer les frais pour un article aussi précieux qu'une épée naine. Voir même à posséder une épée sur mesure, faîte main d'un grand forgeron.
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