Nom : Carnen Tolreninn
Âge : 120 ans
Race : Elfe
Langue(s) parlée(s): Sindarin, tous les langages des hommes à part les Hommes Bruns.
Localisation : Royaume des Hommes
Lieu de naissance : Berceau des elfes Tellari
Titre ou surnom : L'Ombre rouge
Rang : Noble déchue
Allégeance : Aucune
Mon âge : 21 ans
Je fais du Rp depuis : 7 ans, en différé
Autre chose : J'ai vu que les films ^^
J'ai besoin d'un tuteur : Peut être une personne référente à qui poser des questions au cas ou
J'ai lu les règles : oui
Caractère et physique
Mon caractère... je ne me laisse pas marcher sur les pieds, bien que j'ai toujours l'étiquette dans le sang Je suis très diplomatique mais très rigide. Lorsque j'ai décidé quelque chose c'est en toute connaissance de cause. Je sais cependant qu'elle est ma place, et mes courbettes mettent tout le monde d'accord.
J'ai vu le sang et la dureté des hommes. Ils ne seront jamais comme les elfes. Ils ne respectent rien, ne font rien pour leur prochain. Je suis misanthrope envers eux. J'ai de bon contacts avec les nains cependant mais leurs cités sont plus dures d'accès pour moi. Je n'aime pas vivre dans une grotte.
J'ai une vie simple, des goûts simples. Je sais cuisiner, chanter, me battre, laver moi même mes vêtements et entretenir mes armes. J'apprécie l'alcool nain particulièrement. Je porte des habits sombres, du rouge ou du marron très foncé le plus souvent, avec une cape, une capuche, une tenue d'éclaireuse composée d'une côte de maille et de rangements en cuir pour mes armes. (deux dagues dans les bottes, une épée longue). Mon carquois est à ma ceinture.
J'ai appris à me muscler au cours des voyages mais on ne vois que je suis une femme lorsque j'ouvre ma cape, ou sors mes armes. Une fine poitrine, un port altier, de longues jambes, une grande taille. Je ne peux guère cacher ma nature. J'ai coupé mes cheveux très courts afin de ressembler à ceux des hommes, mes cheveux longs et blonds sont désormais d'une toute autre nature. Mon regard est froid et dur et mes pupilles d'un vert profond avec des points de doré éparpillés près du centre. J'ai le teint et le profil elfique, avec des cicatrices dûes à mes combats, une sous l'oeil gauche et l'autre sous le menton. En plus de celles sur l'abdomen et le dos, et j'en passe.
Ma psychologie est le chacun pour soi, je ne me mêle pas des affaires des autres sauf lorsque s'éveille en moi un sentiment de culpabilité, ce qui arrive rarement.
Je méprise particulièrement les nobles car je sais ce qu'ils veulent du premier regard. Face à moi ils sont toujours intéressés d'une façon ou d'une autre. Ils ne viennent pas vers moi par hasard. Bien que pour survivre il faut que je cache mes sentiments.
Je parle les langues des hommes efficacement, un peu de nain et le Sindarin de mon enfance. J'ai préféré oublier les autres langue elfes.
La beauté des elfes détonnent et je ne peux la cacher. Je n'utilise aucun artifice, aucun maquillage ou quoi que ce soit qui pourrais m'embellir. Autant ne pas faire de vagues. D'ailleurs je suis une personne qui n'en fais jamais de vagues. Moins on se souviendra de moi mieux je pourrais reprendre ma route.
Je n'ai connu qu'un seul qui fut doux avec moi, celui qui m'entraîna à l'épée et mourrut quelques dizaines d'années après. Je lui aurais proposé mariage et voyage en d'autres circonstances. C'est pourquoi je refuse que l'on m'approche.
Histoire
Je sens les regards comme des flèches. Mes oreilles longues, aurais-je du les couper? Une cible de choix parmi les autres peuples. Une capuche rabattue empêche bien des problèmes. À dire que lorsqu'on est en fuite de son propre pays ce n'est evidemment pas facile. Lorsqu'on vous cherche pour vous marier à je ne sais qui, mieux vaut prendre les jambes à son coup. Mon père a été un peu trop insistant sur ses choses là. J'aurais pu redorer l'image de cette toute petite maison qu'est la mienne. Ou qu'était. Cela n'a plus d'importance n'est ee pas?
Mercenaire. Je crois que mon ancienne famille ne croirais pas à un tel métier de ma part. Je n'avais pas spécialement été entraînée, à première vue, dans cette voie. Ayant été formée dans les arts de la guérison, j'ai, en cachette, levée mon épée afin de m'entraîner avec un ami de longue date dont je préfère taire le nom. Plutôt mourir que de dire qui je suis ou qui il était. Lorsqu'il est mort, j'ai volé son nom afin de me faire passer pour lui. Il n'était qu'un soldat sans importance disais-t-il et à partir du moment ou il sut que je voulais prendre son identité afin de partir, il s'est fait tout petit
En tant que noble on vous apprend a ne rien transparaître, à être aimable en toutes circonstances, à faire des courbettes. Je n'étais pas faîtes pour ça je crois. La seule chose que je ne fuyais pas étaient mes cours d'art. Je transporte désormais ma petite harpe sur moi, dernière chose que j'ai pu emporter lors de mon voyage vers les terres des hommes.
J'ai sans nul doute le caractère calme des elfes en toutes cirsconstances. Cela fais de moi une personne réputée pour son sang froid et qui suis les ordres à la lettre. Tout est danger, je garde toujours une dague sous mon oreiller en toutes circonstances.
Je suis engagée tantôt par les uns, tantôt par les autres. J'ai reçu même des propositions des orques, mais desquelles j'ai préféré fuir. Personne ne peut me suivre dans une forêt boisée. Encore moins dans la ville. Tout n'est qu'une course poursuite.
Ma mère suivais mon père et mon père faisais ce qu'il voulais de moi, me façonnais. Sauf que si en apparence je le satisfaisait, moi, j'étais insatisfaite. J'étais la dernière de la fratrie et mes trois frères : Alunn, Forlunn et Elrunn, me surprotégeaient. J'ai vite fuis de plus en plus la demeure familiale pour aller chez une amie de mère qui me procura ma formation de guerriseuse. Je ne voyais ma famille qu'une fois le mois passé, car j'avais choisis le plus loins possible afin d'être tranquille. Ce fut mentir de dire que je les aimais pas, mais ma soif de liberté était plus forte. La seule discussion sérieuse que j'eu avec mon père de mon envie de partir tourna au désastre, et je subis la déférence des autres. Une fille noble Teleri se devais de rester à sa place.
On m'engage pour toutes sortes de travaux, retrouver des objets ou des personnes perdues, servir de coursier pour lettres et colis, ou de barde lors de veillée, et pendant les périodes de combat plus aller sur le champs de bataille. Je me fais passer pour une gueuse au prénom changeant. Le nom qui reviens le plus souvent est l'Ombre rouge, c'est d'ailleurs comme ça qu'on me contacte pour les affaires délicates.
J'amasse l'or comme une petite souris et la met dans mes armes et mon armure, ou un meilleur cheval. Cela permet de ne pas en transporter sur moi, bien que j'ai certaines caches.
Je suis bonne à l'arc, comme tous les elfes, à la dague, au lancer, au trancher de gorge. Rien n'est elfique sur moi à part mon harpe. Je parle les langues que j'ai pu apprendre sur mon chemin. Cela fais maintenant vingt ans que le passé est derrière moi et plus personne, à part les elfes qui n'oublient jamais, se souviennent à peine du visage qui passe près d'eux.
J'ai 120 ans. À l'heure qu'il est j'aurais du avoir un enfant et rester auprès de ma famille et de mon mari, restant dans son ombre. Mais qui peut prédire les destins que nous donne Illuvatar?
©Finrod pour le Seigneur des Silmarils: l'Ombre de Morgoth